Je l'ai rencontré le petit cheval de Brassens , en promenant mon Touffu.

Avec sa robe blanche , je l'ai trouvé tellement  beau qu'il m'a séduite aussitôt .

Il m'a regardée, s'est approché de moi ,  mais , le grillage nous séparait ...

Alors, je me suis mise à fredonner : " C'était un petit cheval blanc ..."

Il n'y avait jamais de beau temps,
Dans ce pauvre paysage
Il n'y avait jamais de printemps,
Ni derrière, ni derrière
Il n'y avait jamais de printemps,
Ni derrière, ni devant.

Le petit cheval dans le mauvais temps,
Qu'il avait donc du courage !
C'était un petit cheval blanc,
Tous derrière, tous derrière
C'était un petit cheval blanc,
Tous derrière et lui devant !.

 Mais toujours il était content,
Menant les gars du village,
A travers la pluie noire des champs,
Tous derrière, tous derrière
A travers la pluie noire des champs,
Tous derrière et lui devant.

Sa voiture allait poursuivant,
Sa belle petite queue sauvage
C'est alors qu'il était content,
Tous derrière, tous derrière
C'est alors qu'il était content,
Tous derrière et lui devant.

 Mais un jour, dans le mauvais temps,
Un jour qu'il était si sage
Il est mort par un éclair blanc,
Tous derrière, tous derrière
Il est mort par un éclair blanc,
Tous derrière et lui devant.

Il est mort sans voir le beau temps,
Qu'il avait donc du courage !
Il est mort sans voir le printemps,
Ni derrière, ni derrière
Il est mort sans voir le beau temps,
Ni derrière ni devant.

cliquez sur le titre noir en haut à gauche " Le petit cheval "

 Prenez le temps d'écouter cette jolie  chanson de Georges Brassens

et de regarder la vidéo , c'est extra !

du fond du coeur pour vos gentils messages

d'amitié qui m'ont tellement réconfortée .

Bises à vous tous et toutes et très bon WE .

-" C'est moi, Touffu , le fidèle compagnon de ma maîtresse . En ce moment, elle est souffrante et je lui ai conseillé de faire une pause ! "

" Elle viendra vous rendre visite , dès qu'elle le pourra , c'est moi qui veille sur elle .

Je me blottis contre ses jambes  et je sens sa main glisser sur mon pelage si doux , alors, moi j'aime cela ! "

A bientôt 

  Potsdam est la  ville située aux portes de Berlin, 

Berlin qui est la capitale de l'Allemagne.

Les deux villes sont reliées par le pont de Glienicke.

La statue de Frédéric II de Prusse  devant un musée de Berlin.

 L’extraordinaire palais rococo Sans-Souci, son parc verdoyant et ses vignes en terrasses  étaient la résidence d’été de Frédéric le Grand. Pour tout un chacun, Sans-Souci, à Potsdam, offre un plaisir et une détente royales, accessibles en seulement 30 minutes de train, hors de l’agitation de Berlin. Comme l’indique son nom français, le palais était un havre de calme pour le roi de Prusse.

Avec ses 280 ha de parcs, ses 150 constructions édifiées entre 1730 et 1916, l'ensemble des châteaux et parcs de Potsdam constitue une entité artistique exceptionnelle

Des plants de vignes dont les cépages sont issus du Portugal, d'Italie, de France  y sont plantés sur treilles alors que des figuiers sont mis en terre dans les 168 niches protégées de parois vitrées pour bénéficier d'un effet de serre.

Les parterres des terrasses sont couverts de gazon cloutés d'ifs et gansés de buis noirs. Un escalier de 120 marches sépare les terrasses en deux parties symétriques et permettent d'accéder au parc depuis le palais.

Le château de Sans-Souci et ses dépendances furent miraculeusement épargnés par les bombardements de la Seconde Guerre mondiale. Seul le moulin de Frédéric II brûla. Il est aujourd'hui reconstruit selon les plans d'origine.

Le parc  éblouit avant tout par ses vastes espaces verts. A perte de vue, vous y trouverez un ensemble de plantes d’ornement, d’arbres, de haies et même d’arbres fruitiers. L’étendue du parc est énorme, vous pouvez y passer sans problème toute une journée. A savoir, le parc et ses jardins ne sont pas aménagés de manière géométrique. A part l’allée centrale rectiligne et longue de 2,5 km, tous autres chemins serpentent joyeusement. On va ça et là et on se laisse guider un peu par le hasard…

Les jardins sont  disposés "à la française " . Frédéric le Grand  était attiré par la francophonie , on parlait français à Sanssouci .

Le parc prolonge le thème horticole du jardin et se voit orné de trois mille arbres fruitiers dont des orangers, ananas, pêchers et autres bananiers sortis à la belle saison du château de l’Orangerie. ( à l'époque de Frédéric II ).

Le Parc Sanssouci est, comme son nom l’indique, un endroit idyllique qui fait oublier les soucis pour au moins quelques heures.

Les jardins, au moins aussi impressionnants que les palais qu'ils abritent, offrent 280 hectares de beauté pure en été, avec leurs arbres et leurs fleurs. Les fontaines et les statues valent aussi le coup d'oeil et la visite de l'ensemble du domaine mérite une journée .

et merci de votre passage .*

Lors de son voyage à Berlin, en Allemagne, mon mari m'avait ramené quelques photos de son expédition en compagnie de nos amis de l'association du théâtre,   au mois de mai dernier .

Le château et le parc de Sans-Souci constituent un ensemble impressionnant.

Situé à Potsdam, à environ 25 km au sud-ouest de Berlin, ce site est classé au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1990.

Sa construction fut ordonnée par Frédéric II, roi de Prusse,  en 1744. Celui-ci dessina lui-même les plans du palais, et confia l'édification à un architecte.

Frédéric II souhaitait faire de ce palais un lieu dédié aux Arts et un endroit privilégié pour recevoir ses amis.

N'oubliez pas le "clic " sur chaque photo !

Le château de Sans-Souci , construit dans un style rococo ( baroque) , est vraiment le domaine de Bacchus et de la joie de vivre. Il domine six terrasses où alternent des serres et des espaliers couverts de vigne.. 

La façade colorée du palais est ornée de 36 atlantes (statues d'hommes soutenant une corniche ou un balcon).

Ce  petit joyau du rococo allemand, servait à l’origine de refuge à Frédéric II de Prusse qui y collectionnait ses tableaux et y recevait ses amis philosophes. Voltaire y resta 3 ans. Composé d’une dizaine de pièces de plain-pied, ce palais situé au centre du parc s’apparente davantage à une grosse villa qu’à un château. 

Des gloriettes richement  ornées de motifs solaires dorés agrémentent les terrasses .

Comme l’indique son nom français, le palais était un havre de calme pour le roi " sans souci "  de Prusse. Sa dernière volonté fut d’être enterré là, un vœu réalisé uniquement après la réunification allemande. (1991).

Il est certain que j'aurais aimé cet endroit , malheureusement le voyage de 5 jours en autocar est extrêmement fatigant et voilà déjà 2 fois que je renonce , à mon grand regret...

Le parc est immense et je vous le présenterai la prochaine fois . Moi qui n'aimais pas les cours d'histoire pendant mes études,  voilà que cette façon de découvrir le passé me passionne davantage.